Kyong-Kon KIM est maître de conférences en histoire des religions et didactique du fait religieux à l’Université de Strasbourg, depuis 2016. Originaire de Corée du Sud, il a fait ses études de théologie en Allemagne et a obtenu les titres de « Diplom Theologe » (DEA en théologie, 1996) à l’Université de Mainz et de « Doktor Theologe » (doctorat en théologie catholique, 2006, sous la direction du Professeur Hans WALDENFELS) à l’Université de Bonn. Demeurant en France depuis 1997, il a complété sa formation théologique par un Master en histoire des religions à la Faculté des sciences historiques de l’Université de Strasbourg (2011) et a enseigné en tant que professeur d’Éveil culturel et religieux au lycée (une modalité d’enseignement religieux, 2000-2016) et en tant que chargé de cours d’histoire des religions à la Faculté de théologie catholique de l’Université de Strasbourg (2012-2016).
- Der Mensch und seine Erlösung nach Sŏn-Buddhismus und Christentum. Bojo Chinul und Karl Rahner im Vergleich, Bonn, Borengässer, 2007, 283 p. « Begegnung. Kontextuell-dialogische Studien zur Theologie der Kulturen und Religionen, Band XV », hrsg. von Hans Waldenfels
- La première traduction coréenne du Sūtra du Lotus (1463) Revue de l’histoire des religions, 231-3 (2014), Collège de France, p. 425-465
- Jésus de Nazareth et la figure de bodhisattva. La théorie de Hee-Sung Keel à l’épreuve de l’histoire comparée des religions Une certaine image de Dieu. Hommage à François Bœspflug, Michel Deneken, Thierry Legrand et Anne-Laure Zwilling (sous la dir.), Presses universitaires de Strasbourg, 2015, p. 193-203
- Le rêve énigmatique du roi Prasenajit. Introduction philologique et historique à l’oniromancie bouddhique Revue des sciences religieuses : « Songes, visions, prophéties », 90 n° 2 (2016), Université de Strasbourg, p. 165-187
- Pourquoi christianisme et bouddhisme se ressemblent-ils ? Rencontre avec Kyong-Kon Kim Les Grands Dossiers des Sciences Humaines, Hors-série n° 5 : Les monothéismes (déc. 2016 – fév. 2017), Laurent Testot (éd.), p. 80-81